Site hosted by Angelfire.com: Build your free website today!

L’énergie hydrobiologique

(ce document a été publié par la revue efferveSciences n° 70 de mai-juin 2010 + mise à jour du mardi 14 février 2012)

Le GERB est un générateur d’onde Lakhovsky limité à la longueur d’onde composite de l’eau (environ 22 cm, soit 1,36 GHz), fréquence que le physicien Rodolphe Lavinay a montrée être la plus favorable à la vie (alors que les longueurs d’onde Lakhovsky sont purement empiriques, d’où son utilisation de plusieurs métaux à la fois afin de produire un multiplex ondulatoire).

Globalement, on retrouve à l’arrivée les mêmes résultats avec les appareils Lakhovsky, Violet, Bignand, Priore, Lavinay, etc. : vieillissement et bonification du vin comme avec une pyramide, accélération de la germination, dynamisations et guérisons diverses, ce qui fait logiquement penser à la production-captation de la même énergie de très haute fréquence, issue de ce que Lakhovsky appelle « universion » (ou « énergie diffuse » de René-Louis Vallée, ou «éther énergétique » de Paul LaViolette, etc. ) mais avec des appareils différents, produisant ou captant cette énergie par divers moyens, l’effet Compton sur l’Eau de Lavinay me paraissant être le plus élégant et le plus précis.

L’idée de relancer la production de Générateurs d’Energie HydroBiologique (GERB) afin d’obtenir des appareils fiables et modernes me paraît intéressante, bien que mon appareil soit maintenant en bon état de marche et que je ne sois pas pressé d’en acquérir un neuf. Si cette idée t’intéresse, fais-le moi savoir.

Genèse de la découverte

En 1951, dans son ouvrage (à rééditer car épuisé) paru à Caen sous le titre « Les Ondes et la Vie » (96 pages (patienter svp jusqu’au chargement/ouverture du fichier pdf)), le physicien français Rodolphe Lavinay (décédé en 1974), définit –par plusieurs expériences reproductibles- les caractéristiques des ondes utilisées en radiesthésie, auxquelles il s’était intéressé en 1948 afin de se guérir lui-même d’une très grave maladie (à la dernière ligne de la page 30, il se qualifie de « réduit presque à l’état de mort vivant »). A la page 84 de son ouvrage, il précise que l’eau est « un accumulateur d’ondes qui peut se charger et décharger des ondes que l’on veut bien lui confier ».

Il en donne pour preuve (p. 91) l’utilisation de l’eau lourde, qui freine pendant environ deux mois la libération de l’énergie nucléaire (en jouant le rôle de modérateur de neutrons). En phase gazeuse (nuages), les molécules d’eau reçoivent le rayonnement cosmique à très haute fréquence, dont elles peuvent ensuite restituer l’énergie accumulée. « La libération d’énergie statique contenue dans l’eau est certainement la libération d’une énergie cosmique dont l’eau s’est chargée quand, dans son éternel mouvement, elle se trouvait à l’état nuageux. » (p. 91). A la page 92, Lavinay précise qu’il a même pu moduler cette « onde mystérieuse, baptisée « Aura » par certains, « ondes magnétiques » par d’autres. Grande fut ma surprise de pouvoir réaliser, avec les ondes issues de l’humain, les mêmes expériences que celles qui ont été citées précédemment, c'est-à-dire télégraphie sans fil et mesure au fil de Lecher. »

A la fin de son livre (p. 93), Lavinay n’a pas encore mis au point son générateur électronique de radiations biologiques mais il comprend que la longueur d’onde biologique fondamentale est celle de l’eau, constituant majeur des tissus vivants (22 cm ou 1,36 GHz, avec tous ses harmoniques).

Il mentionne en effet cette intéressante expérience : « En soumettant de l’eau distillée à un bombardement pendant un certain nombre d’heures par cette Onde de Vie, j’ai obtenu la formation de corps gélatineux transparents, rappelant la méduse de mer ». S’agissait‑il de clathrates ? Le chercheur Louis Boutard parlait de son côté de « l’eau gommeuse » obtenue par son générateur de « fluide vital ». Le langage poétique et littéraire de Boutard ne facilite pas la compréhension de ses découvertes d’ordre scientifique, mais l’on retrouve toujours, dans les travaux des différents inventeurs de tels générateurs, la référence à une même et unique Energie vitale bienfaisante, pouvant être -non pas créée- mais seulement amplifiée, modulée ou mesurée par divers procédés techniques finalement assez simples. La référence de Boutard à ses  « monades éthériques » rejoint par exemple (à mon avis) les « éthérons » de Roger Marchet, de Paul LaViolette, de Cédric Dumas et de Ian Popescu. Expérimentalement, après avoir soumis de l’eau osmosée à une longue dynamisation par l’appareil de Lavinay, je constate en effet une certaine viscosité et un écoulement très lisse, témoignant d’un réarrangement moléculaire correspondant à une transition vers la phase organisée et cristallisée (glace) avec conservation des propriétés de la phase liquide.

Le 12 avril 1954, un article intitulé « Le Film complet de la Découverte d’un électrophysicien, M. Rodolphe Lavinay, le Guérisseur « Bombardier » » a paru dans la revue « Détective » sous la plume de Roger Berson. Cet article –illustré de plusieurs photos- présente 4 cas de guérisons spectaculaires : une sclérosée en plaque devenue aveugle qui recouvre la vue et n’a plus de tremblements ; un cancer du nez et de l’oreille complètement guéri ; une tuberculose rénale ; un eczéma purulent de coiffeur, plus la guérison personnelle de M. Lavinay (polyarthrite généralisée), entre autres succès obtenus au moyen de son « cyclotron ».

Le 21 janvier 1955, Rodolphe Lavinay prend le brevet 1.266.454, intitulé « Dispositif de protection contre l’influence néfaste sur la cellule vivante des tubes dits fluorescents ».

Le 28 avril 1958, il dépose une demande d’addition à ce brevet mais ce n’est que dix ans plus tard, par arrêté du 25 octobre 1965, que cette addition (comprenant 9 pages A4) est publiée dans le numéro 49 du Bulletin officiel de la Propriété industrielle.

Les dessins accompagnant la géniale invention de Lavinay décrivent un appareil expérimental qui sera ultérieurement simplifié afin de le commercialiser sous l’appellation de Générateur Electronique de Radiations Biologiques (G.E.R.B.). C’est la société d’agriculture biologique Lemaire, à Angers, qui fabriquait et vendait cet appareil, dont j’utilise le « Modèle A » n° 586, retrouvé dans mon grenier et remis en route en mars 2008 après avoir eu l’idée de souder un tube à éclairs du commerce à la place de l'ancien tube qui était en panne depuis longtemps (voir le mode d'emploi qui était remis avec cet appareil). Celui-ci était construit à Angers par le Département électronique de la société Lemaire. La notice complète (13 pages A4 (patienter svp jusqu’au chargement/ouverture du fichier pdf)) mentionne 3 fois qu’il s’agit d’une « énergie antigravitationnelle », ce qui me paraît ouvrir des perspectives d’applications spatiales.

GERB-1

Vue de mon G.E.R.B.

Ci-dessous, vue du tube plongeur asymétrique en Plexiglas, au bout duquel j’ai soudé un simple tube à éclairs du commerce :

GERB-3

GERB-4

Applications thérapeutiques

La « ceinture magnéto-radiante » mentionnée par Lavinay dans son livre de 1951 correspond vraisemblablement aux « bandes radiantes » qu’il mentionne comme suit dans la notice d’utilisation du GERB : « Des toiles sur lesquelles on aura étalé une mince couche de cire d’abeille fondue deviendront des « bandes radiantes » qu’on pourra appliquer aux endroits corporels désirés ou mettre dans sa poche. » Etant entendu que ces bandes doivent au préalable avoir été vitalisées par l’appareil. Celui-ci est « construit avec des matières plastiques de qualité alimentaire et selon des techniques particulières visant à leur donner le maximum de solidité. » et « Le tube plongeur est en Plexiglas (polyméthacrylate de méthyle – PPMA)  transparent. » Ce matériau est plus transparent que le verre mais très sensible aux vapeurs des solvants.

Certains vendeurs d’appareils concurrents ont essayé de critiquer le GERB en affirmant que la cuve en matière plastique « se corroderait », ce qui serait vraiment très surprenant pour un plastique de qualité alimentaire exposé uniquement à de l’eau ultrapure et à des éclairs lumineux ! Aucune usure ou corrosion de surface n’est décelable dans la cuve de mon appareil, qui a été construit il y a une cinquantaine d’années. Les parois de la cuve sont parfaitement lisses et intactes. Par ailleurs, je ne bois pas l’eau osmosée emplissant la cuve, qui ne sert que de « moteur » ou générateur de rayonnement hydrobiologique ascendant. Je place tous les produits à vitaliser sur le couvercle de l’appareil, avec deux miroirs latéraux renvoyant le rayonnement vers ces produits.

Les extraordinaires effets biologiques de l’énergie ondulatoire émise par le G.E.R.B. ont été décrits en 7 pages par le Dr Henri Quiquandon  dans le numéro 45 (mars 1975) du bulletin de la Société médicale de biothérapie, sur la base de la notice originale du G.E.R.B. mentionnée ci-dessus. Au début de cet article, le Dr Quiquandon cite une lettre très touchante, adressée le 11 novembre 1972 à Monsieur Rodolphe Lavinay par Mademoiselle Annick Bremaud, alors âgée de 20 ans. Cette lettre se termine ainsi : « Maintenant, je suis redevenue comme avant. Tout va pour le mieux, et ceci je vous le dois Monsieur. Vous m’avez sauvée d’une mort certaine. Vous êtes mon sauveur, celui à qui je dois la vie, et toutes les belles années qui sont devant moi. Jamais de ma vie je n’oublierai qu’un monsieur très gentil et qui a toute ma reconnaissance, m’a sauvé la vie. » Trente-six ans plus tard, le 8 mars 2008, j’ai téléphoné à cette dame, qui m’a confirmé ces faits de vive voix, l’appareil ayant été installé sous son corps pendant le traitement. Je pense qu’il n’y a rien à ajouter, sauf que voilà encore une invention française et géniale qui a été occultée mais qu’il est temps de remettre en lumière.

Schéma électronique du G.E.R.B.

Le schéma et les explications figurant dans le livre intitulé Le Laboratoire publié en 1986 par l'ingénieur-radiesthésiste Jean Pagot (p. 90-91 reproduites ci-dessous) correspondent au prototype de l'appareil original de Lavinay qui était autrefois commercialisé par la société Lemaire et Boucher en tant que "modèle familial A", avec des valeurs légèrement différentes.

image004.jpg

La résistance variable ci-dessus permet d'ajuster légèrement la durée des éclairs, dont la fréquence est fixée à la valeur choisie par Lavinay (0,25 Hz) comme étant optimale pour le retour des électrons sur leur orbite de repos. Ce circuit électronique à thyristor avait été breveté sous l'appellation "Orthotron" (F 72-6) par M. Philippe Lavialle (91590 Cerny). La puissance du tube au xénon en U d’origine (introuvable actuellement) était indiquée sur la notice comme étant de « 30 kW crête » sous 600 V. Ce diaporama (6 photos du 24 janvier 2010 - patienter svp jusqu’au chargement/ouverture du fichier pdf) montre l’implantation et le câblage des composants de ce circuit.

Suite des recherches de Lavinay

Martial Guirriec, qui travaillait avec Rodolphe Lavinay en tant que technicien, avait repris les recherches et appareils de l’inventeur après le décès de celui-ci en 1974. A la fin du document de 16 pages A4 intitulé « (H-OH) Voie souveraine de l’Alchimie du vivant » (patienter svp jusqu’au chargement/ouverture du fichier pdf), Martial Guirriec décrit le modèle sphérique que Lavinay appelait « Modèle B ou Biomega », qui comportait un brumisateur afin de normaliser l’air ambiant. C’est ce modèle que Guirriec a simplifié et commercialisé sous l’appellation de « Bionic R9» en mars 1973, peu avant le décès de Lavinay. Ce générateur a été utilisé avec succès pendant de nombreuses années à Quimper par le cabinet d’ostéopathie-kinésithérapie « Sanchez Michel, Minssen Patrick et Chanoni Patrick » et pourrait constituer la base d’une éventuelle mise en production d’un générateur d’énergie hydrobiologique moderne et efficace mais – comme je l’espère à titre personnel- vraiment conforme à l’idée originale de l’inventeur, Rodolphe Lavinay.

bionicB.jpg

Le « Bionic R9 » photographié à Quimper par Michel Loury le 18 mai 2010

Martial Guirriec avait bien compris le processus physique mis en jeu par l’irradiation photonique de l’eau, tel que découvert initialement par Rodolphe Lavinay. Il écrit en effet, à la page 5 de son document : « Cette photostimulation est le résultat conjoint de l’effet Compton et d’un pompage optique. » Le rayonnement hydrobiologique, correspondant à la raie d’émission de l’eau, s’élève à la verticale et réagit comme la lumière car il est réfléchi par des miroirs. Les photons envoyés dans l’eau par le G.E.R.B. servent donc à produire de nouveaux photons dont la fréquence correspond à celle de l’eau, donc de la vie.

Le phénomène est ainsi décrit dans la revue Nexus 73 (mars-avril 2011, p. 104) : « Les électrons sont excités par l’énergie ambiante et atteignent des niveaux d’énergie plus élevés. En redescendant à leur niveau d’énergie antérieur plus faible, ils émettent des photons. Le rayonnement créé possède alors des fréquences particulières (on parle de « raies » d’émission) qui dépendent des différences entre niveaux d’énergie électroniques. » La longueur d’onde composite de l’eau est d’environ 22 cm. Une résonance de ce rayonnement avec les processus biologiques, qui sont eux-mêmes structurés par l’eau (selon le modèle de Ling), explique donc clairement les effets de vitalisation constatés.

Comme le Biomega, le Bionic R9 vitalise l’eau contenue dans sa cuve mais comporte aussi un compresseur-brumisateur vaporisant cette eau dans l’atmosphère afin de la vivifier : « Au bout de 20 minutes de fonctionnement dans la pièce, on sent l’air nettement plus léger. » La 3e fonction de l’appareil consiste à émettre le rayonnement « aquamagnétique » de l’eau pure afin de créer une biorésonance avec l’oscillation des cellules (composées d’eau à 90 %).

Concernant la notion d’eau en tant que base du vivant, M. Guirriec développe la classique mais peu scientifique distinction entre « eau vivante » (biodisponible) et « eau morte » (ayant circulé dans des conduites métalliques) et l’exprime dans les termes suivants: « cet agent mystérieux des eaux thermales, communément appelé « valeur curative », n’est autre que l’activité électromagnétique de la molécule (H-OH). » En termes scientifiques, il pourrait simplement s’agir du paramètre d’activité (disponibilité électronique des molécules d’eau) tel qu’il est développé par le professeur Marc Henry (modèle de Ling).

Conformément à la thèse exposée par Lavinay dans son livre « Les Ondes et la Vie », Martial Guirriec cite aussi la notion de « l’eau vitale » de Marcel Violet, pour lequel tout désordre provient d’une « carence chronique en radiations biologiques » (p. 28 du livre L’Energie cosmique au service de la Santé, 5e éd.). Cette énergie est stockée par l’eau et est contenue dans tous les tissus vivants, d’où l’intérêt des aliments crus (ibid. p. 87).

Toujours en Bretagne, à la faculté de médecine de Rennes, le professeur Belossi avait également mis au point un appareil utilisant le principe de Lavinay, avec un tube plongeur très semblable à celui du GERB :

belossi.jpg

 

Le principe fondamental de l’invention autrefois déposée par Rodolphe Lavinay et tombée depuis dans le domaine public a également été mis en œuvre par l'entreprise Aqua Prima (Joëlle Henry), dont les générateurs hydrobiologiques paraissent donner des résultats intéressants mais dont la fréquence d’irradiation est plus rapide que celle du GERB original (4 s). La mise au point d’un nouveau générateur, faisant appel aux plus récentes techniques électroniques et mécaniques tout en respectant les recherches effectuées par le grand précurseur de la dynamisation de l’eau, Rodolphe Lavinay, ainsi que par Martial Guirriec et Marcel Violet, est actuellement à l’étude par un groupe pluridisciplinaire.

Eléments théoriques sur l’énergie hydrobiologique

Le principe de base est facile à comprendre : de l’eau ultrapure (de longueur d’onde composite proche de 22 cm) est utilisée dans une cuve comme changeur de fréquence afin d’électrosynchroniser des éléments minéraux ou organiques à partir d’une source pulsée de photons à haute énergie (tube à éclairs). Ce bombardement périodique (0,25 Hz) provoque dans le filtre hydrique –par pompage optique- une désorbitation centrifuge des électrons en sauts quantiques croissants et communique une charge énergétique temporaire à la molécule d’eau ainsi irradiée. Cette charge, lors de la relaxation des molécules d’eau par sauts quantiques décroissants, libère alors la forme d’énergie qui a été qualifiée par Lavinay « d’énergie hydrobiologique ».

Comme cela est expliqué par le biophysicien Yann Olivaux à la page 134 de son livre « La Nature de l’Eau » (571 p., 2007, Résurgence), « l’eau possède 6 orbitales moléculaires » du fait que les 10 électrons de sa molécule se répartissent par paires sur 5 niveaux énergétiques. A l’état fondamental, la molécule d’eau a 1 026 niveaux de rotation, le premier se situant à 714 GHz et le 1 026e à 633,162 THz. Par ailleurs, la molécule d’eau possède 107 niveaux de vibration ayant chacun 114,46 niveaux de rotation, soit « un total de 12 248 niveaux de vibration-rotation ».

Remarque – A ce propos, il est intéressant de noter que la progression arithmétique des sauts quantiques de l’électron correspond –par l’intermédiaire des zéros de la fonction zêta de Bernhard Riemann- à la progression des nombres premiers (réf. Science et Vie, 12/09, p. 93-96).

Dans ma correspondance avec le Dr Quiquandon (lettre du 15 juillet 1976, alors que j’étais traducteur technique à la CEI), j’écrivais ceci : « Le GERB travaille en fait à l’inverse du laser qui, à partir d’électrons, produit des photons, tandis que le GERB utilise les photons pour produire une excitation d’électrons (analogue à l’action d’ionisation des ultraviolets sur un gaz). En haut de la page 9 de la notice du GERB, il est dit que « plus le moment magnétique se présentera en quadrature avec le précédent, plus l’annulation énergétique sera grande. » Je pense que c’est ce qui peut rapprocher cette théorie de celle du professeur René-Louis Vallée, qui annule également l’énergie d’un atome de carbone en le soumettant à un champ électrique et à un champ magnétique en quadrature de phase, produisant ainsi une sorte d’effondrement de l’électron sur le noyau (implosion), comprimant l’atome et récupérant ensuite la réaction élastique de l’électron revenant sur son orbite avec émission de rayonnement bêta (émission d’un électron- ou d’un positron+), sous forme d’énergie pompée au milieu et 4 fois plus élevée que l’énergie mise pour comprimer l’atome. Il semble plutôt qu’il y ait dans le GERB expansion électronique par l’action des photons (électromagnétiques, c’est-à-dire ayant aussi un champ électrique et un champ magnétique mais en phase) car la résonance avec l’hydrogène peut avoir cet effet. Mais pour vous il s’agit là de l’effet « antipôle négatif » (« onde de mort » de 2 GHz/16 cm). Il se peut que l’action positive soit en effet d’exciter l’électron au-delà de son orbite et non pas de le comprimer (comme dans l’expérience de Vallée) ? »

Dans le volume R3390 des « Techniques de l’Ingénieur », on lisait en effet ceci en 1976 : « Lorsqu’une onde lumineuse se propage dans la matière, l’interaction avec le milieu se traduit par une modification des caractéristiques de l’onde. Le milieu présente un « indice d’extinction ». L’activité optique de la lumière dans l’eau correspond à un pouvoir rotatoire, proportionnel à l’épaisseur traversée et indépendant du sens de parcours de la lumière dans l’échantillon. Le pouvoir rotatoire est moléculaire. L’origine physique de l’activité optique moléculaire est à rechercher dans le mécanisme même de l’absorption de la lumière. L’intensité de cette absorption est généralement liée au moment dipolaire électrique induit dans la molécule par le champ électromagnétique de l’onde qui perturbe la répartition des électrons de la molécule. Le pouvoir rotatoire dépend de la température et surtout de la longueur d’onde. »

Hypothèse des hydrinos de Mills

Un phénomène analogue mais inverse a été découvert par le physicien Randell Mills: si l'électron de l'atome d'hydrogène saute vers un niveau d'énergie inférieur à l'état stable calculé par les équations conventionnelles, il y a émission d'un photon ultraviolet dont l'énergie est égale à l'énergie cinétique orbitale qui a été perdue. Un tel atome d'hydrogène, appelé hydrino par Mills, possède des propriétés totalement différentes de celles de l'atome d'hydrogène normal (les hydrinos, constitués d'atomes d'hydrogène contractés, peuvent par exemple fusionner à basse température). L'entreprise BlackLight Power, fondée par Mills, tente de breveter un processus dans lequel l'hydrogène est adsorbé par du nickel de Raney (structure poreuse obtenue par application de soude caustique (NaOH) sur de l'alliage Ni-Al) qui sert ainsi de catalyseur dans une réaction exothermique à rendement surunitaire (15 keV ou 6,67 kWh par atome d’hydrogène !).

Hypothèse de la cinétique subquantique de LaViolette

La découverte de Randell Mills est mentionnée à la page 91 du livre "SubQuantum Kinetics" (ISBN 0-9642025-5-7) de l'astrophysicien Paul LaViolette, qui propose une révision totale de la physique actuellement acceptée en partant du postulat que l'univers est un système ouvert (et non fermé comme le postule la physique conventionnelle). L'énergie excédentaire due à la dérive vers le bleu du photon est appelée "énergie génique" par Paul LaViolette. Conformément aux lois de la cinétique subquantique, l'apport énergétique d'un photon par le tube à éclairs de Lavinay fait sauter l'électron d'hydrogène sur une orbite supérieure puis (environ 4 s plus tard) sa relaxation sur une orbite inférieure émet symétriquement le quantum d'énergie génique ou hydrobiologique correspondant.

Hypothèse concernant l’origine de l’énergie hydrobiologique: la création d’antimatière à faible énergie

eclairs.jpg

Michael Briggs, astrophysicien à l’université d’Alabama, a découvert que les éclairs accompagnant un orage produisaient des antiparticules (positrons). L’annihilation réciproque de ces positrons et des électrons correspondants (leurs antiparticules) se manifeste sous la forme de rayonnements gamma dont le pic énergétique à 511 keV (soit 2,274 kWh) est typique d’un tel phénomène. L’énergie due à cette rencontre entre matière et antimatière monte (comme l’énergie hydrobiologique) vers la haute atmosphère pendant ces orages, inversant ainsi le champ électrique des particules classiques (réf. Science et Vie, janvier 2010, p. 12, Les éclairs créent de l’antimatière !).

Hypothèse personnelle - Théoriquement, cette annihilation est réversible, mais à très haute énergie. En supposant que l’énergie hydrobiologique soit de même nature que la précédente, elle serait obtenue par un phénomène analogue à celui des orages, mais à faible énergie, selon le cycle de pompage élastique suivant : éclair de photons-excitation de l’atome d’hydrogène-création de positrons H | annihilation d’électrons H-émission d’énergie montante-reconstitution et relaxation de l’atome d’hydrogène.

Hypothèse tachyonique

L’hypothèse de la physique tachyonique est développée dans la page intitulée La Physique Tachyonique. Merci de la consulter.

--------------------------